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François Arnal |
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Il rencontre Conrad Kickert, un artiste hollandais ami de Fauconnier, qui l’encourage à peindre. François Arnal se tourne ainsi vers la peinture en 1947, qu'il délaisse en 1968 avant de s'y remettre en 1975.
En 1948 François Arnal arrive à Paris. Il y rencontre les peintres Pierre Dmitrienko, Rezvani et les écrivains Raymond Queneau, Hubert Juin, Alain Jouffroy et JC Lambert.
François Arnal participe au mouvement de l'abstraction lyrique et de l'art informel.
En 1960 l'artiste se tourne vers la sculpture.
François Arnal est exposé dans les lieux les plus prestigieux : le Guggenheim de New York, le Musée de Rio de Janeiro, l’Institute of Art de Chicago, etc.
"C'était un soir, dans le maquis. Intrigué par une lumière isolée, je me suis approché d'une petite maison. J'ai frappé. Dans cette maison, il y avait une femme nue, allongée sur une table au milieu de tissus de damas et de poteries. Un peintre, un Hollandais réfugié tout à fait traditionnel, la représentait ainsi. Cette rencontre marqua mes premiers essais de peintre!"
"Je pense que sur une toile, on doit renconter différentes choses, qu'elle doit être à l'image du monde : on ne peut concevoir un monde fait uniquement de feuilles, de pierres ou d'eau."
"J'ai appris la jeunesse en peignant."
"Lorsque je me suis engagé dans cette aventure sans fin et sans but de la peinture, je me suis trouvé bien sûr émerveillé de ces mystères qui venaient à moi en dehors de ma volonté, mais aussi frustré de ma place d'homme dans le monde. Cette insatisfaction se trouve en partie effacée par le fait de pouvoir depuis 1959 assembler des objets, les transformer, avoir une influence sur un volume, sur un poids, sur des structures différentes."
"N'a-t-on pas vu récemment au microscope électronique que le papier vivait, était en perpétuel mouvement... ?"
"Et si ça servait à ça la peinture, à repousser les horizons."