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peinture

Andrew Wood & Layla D’Angelo

Galerie du Passage, Paris

Exposition du 9 juin - 31 juillet 2010


Pierre Passebon présente deux artistes qui ont en commun une totale liberté de création et un usage détourné de leur peinture. Les bas-reliefs d’Andrew Wood, réunis dans une exposition, dont le titre rend hommage au roman d’ Herbert George Wells "The Shapes of Things to come" et les mobiles de Layla d’Angelo, présentés dans "Come into my worlds", dessinent les frontières "d’un monde parallèle, sensuel et lumineux".

Artiste anglais né en 1950, Andrew Wood nous raconte ici son histoire : "Je suis un "potier". Je modèle, sculpte et cuis l’argile depuis 1972. J’en ai fait mon métier. Mes premières oeuvres étaient pleines d’humour et de fantaisie. J’ai influencé l’émergence des céramiques figuratives des années 70. En développant mon savoir-faire et mon style inspiré par mes fréquents voyages en Inde, mon travail devint plus poétique". Ces dernières années il s’est concentré sur la forme du bas-relief qu’il considère comme une alchimie entre sculpture et dessin. Tout commence par des griffonnages issus d’une imagination fertile… puis interviennent le modelage et la couleur. Selon l’artiste, "Toute association de ces formes avec le monde existant est totalement fortuite (… )Je peins ma sculpture comme un peintre. J’aime l’huile, son odeur, sa texture, sa sensualité et sa profondeur. Elle me permet de vernir, de peindre, de repeindre, et de vernir encore, jusqu’à l’exquise harmonie avec la forme."

Layla D’Angelo est une new-yorkaise qui a choisi l’Espagne il y a plus de 20 ans. C’est là qu’elle a commencé à peindre. Sa première exposition de peintures à la Galerie du Passage en 1996 se concentrait sur des portraits de danseuses de flamenco. Après avoir expérimenté la photo avec des séries d’autoportraits polaroïds, elle s’est mise à explorer l’univers des mobiles. C’est ce passage à l’abstraction que relate l’exposition "Come into my worlds".



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