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Expositions Alberola (sélection)
2009 :
Galerie Daniel Templon
"L’oeuvre imprimé" - BnF - Site François-Mitterrand
"Dans l’oeil du critique – Bernard Lamarche-Vadel et les artistes," Musée d’art moderne de la Ville de Paris
2008 : "La précision des terrains vagues" (extension), Musée d’Art Moderne de Saint-Étienne Métropole.
"Huile sur toile", rétrospective, Musée des Beaux-Arts de Nancy
2007: Extension de l'idée fixe, Galerie Catherine Issert, Saint-Paul de Vence
"C’est une histoire déjà ancienne comme commencent parfois les contes. Histoire d’amitié,
d’émulation, bref collective, quelque peu "familiale" même... Cela avait commencé en 1987
avec Erik Dietman et Bertrand Lavier sous la houlette de Bernard Marcadé dans le même écrin...
Tel un sérial, cette catégorie de feuilleton qui rythmait le temps fictionnel du siècle de Fantomas,
Jean-Michel Alberola réapparaît chez Catherine Issert.
Si l’amitié et l'émulation collective sont désormais des souvenirs, la fidélité trouve l’occasion de
se dire aujourd’hui. La fidélité est une rémunération du temps comme Mallarmé disait que la
parole rémunérait la langue. Fidélité à l’espace d’une galerie, fidélité à la peinture, fidélité à
l’histoire de l’art.
De ce dernier point de vue, toujours herboriste iconographique, Jean-Michel Alberola rassemble,
agence, monte. Sans doute le dessin a-t-il privilégié la ligne et émoussé la brusquerie des
rapprochements et des effets de collage. Pourtant, la ligne se fait plus souvent contour. Mais,
désormais, les compositions privilégient fréquemment la transfusion et la métamorphose, un peu
à la manière de ce passage qu’Alberola n’oublie pas, entre des célibataires et une mariée...
Il fut un temps, Alberola esquissait et suspendait le sens. Aujourd’hui, il suggère, il diffère. Les
contradictions s’affirment aussi, à l’instar du monde réel contemporain et de ses maux qui
frappent plus fortement à la porte de l’atelier.
"Comme au cinéma" dirait-on : çà glisse d’une image à une autre, mais les contrastes colorés
n’en disparaissent pas pour autant.
Et puis l’écriture s’impose. Elle ne commente pas seulement l’image, elle est devenue image. Ce
qui se lit se voit. Et le contraire sans doute... En ce sens la fresque murale est devenue l’acte qui
associe lire et voir. Comme les réclames de la fin du siècle de Baudelaire."
Dominique Païni, avril 07
2007 : "Eclairage en groupe", Galerie Daniel Templon, Paris
La programmation 2007-2008 du nouvel espace "Impasse Beaubourg" récemment inauguré, débute avec un des artistes historiques de la Galerie Templon - le peintre Jean-Michel Alberola représenté depuis 1982. Pour la première fois, Alberola dévoile un aspect méconnu de son travail : les sculptures en néon qui dessinent des paroles ambiguës, entre prophétie provocatrice, slogan politique ou jeu de mot duchampien.
Avec l’exposition "Eclairage en groupe", Jean-Michel Alberola propose une installation spectaculaire. Huit néons de couleur, esquissant parfois des portraits de profil, traçant parfois des mots, s’articulent autour d’une large fresque peinte in situ. Titrées "Luxe", "Rien", "Toi-même" ou encore "1968", ces oeuvres mêlent réflexion politique et artistique, tout en interrogeant le spectateur sur sa relation à l’œuvre d’art et sa commercialisation.
C’est depuis 1994 que Jean-Michel Alberola travaille avec le néon. Récemment, on a pu voir l’oeuvre "Rien" (1994) représentant un crâne dans l’exposition "Samuel Beckett" au Centre Georges Pompidou. Avec cette vanité contemporaine, la lumière éteint l’image qui à son tour éclaire le mot. Dans "1968" (2007) son oeuvre la plus récente, Jean-Michel Alberola propose un néon à demi-éclairé demi-opaque, comme un clin d’oeil à l’ombre invisible d’une année aujourd’hui si controversée.
A 54 ans, Jean-Michel Alberola reste un des artistes phares de la scène française. Son oeuvre protéiforme combine, entre figuration et abstraction, peinture, sculptures, installations, dessins et même parfois performances comme avec ses récentes "signatures du Capital de Karl Marx" au Palais de Tokyo. Ces dernières années, les oeuvres de Jean-Michel Alberola ont été présentées dans le cadre de nombreuses expositions : "Contrepoint" au Musée du Louvre (2005), "La Force de l’Art" au Grand Palais (2006), "Art France Berlin" au Martin Gropius Bau (2007) et dans le nouvel accrochage des collections du Musée National d’Art Moderne (2007). Une monographie vient de paraître aux éditions Ereme.
2007 :
Musée d'Art Moderne, Saint Etienne "La Force de l'Art", Paris "Le mouvement des images", Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris "Art France Berlin", Martin Gropius Bau, Berlin.
2006 : "Les Grands et les Petits", La Verrière Hermès, Bruxelles La Force de l'Art, Grand Palais, Paris "La Tristesse du Roi", Creil "Cartes de visite et vers luisants", exposition au Cabinet des dessins de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts, Paris.
2005 : Galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence Galerie Daniel Templon, Paris "Portrait de femmes de la Bible par 32 artistes contemporains", Galerie Nikki Diana Marquart, Paris "The giving person", Palazzo Roccella, Naples, Italie "Contrepoint", Musée du Louvre, Paris.
2004 : "Chez Daniel", Galerie Daniel Templon, Paris
Ironiquement intitulée "Chez Daniel", cette dixième exposition de Jean-Michel Alberola à la galerie Daniel Templon, présente le travail réalisé par l’artiste au cours des deux dernières années : quelques toiles, deux murs peints, des "reliquaires" et trois grands dessins.
Echappant à toute école ou mouvement théorique, Jean-Michel Alberola poursuit depuis plus de 20 ans une oeuvre protéiforme qui fusionne figuration, abstraction et conceptualisme. Dans les années 80, Jean-Michel Alberola s’est imposé comme un des artistes clés de la jeune scène française qui renouvelait la peinture figurative en prônant le retour à une "peinture cultivée". Construisant son travail autour de mythes ( "Le bain de Diane" ou "Suzanne et les Vieillards") et de réminiscences esthétiques (l’art africain, l’Egypte...), Jean-Michel Alberola a développé une peinture insaisissable qui s’interroge à la fois sur la fragilité de la beauté, l’ambiguïté du regard et les fins de l’art.
Dans une figuration perturbante car juxtaposée aux codes de l’abstraction, les toiles d’Alberola mêlent encore aujourd’hui citations d’origines diverses et clins d’oeil aux grands maîtres de l’histoire de l’art. Dans deux toiles intitulées "Celui qui se construit (constellation)" et "Celui qui se déconstruit (Pétard chinois)", Jean-Michel Alberola dessine des anatomies de corps, entre effacement et abstraction, qui laissent deviner des personnages ou des géographies. Il semble flirter avec des références à l’art du XXème siècle de Duchamp à Dali. Jouant sur des variations chromatiques d’une harmonie surprenante, les toiles de Jean-Michel Alberola juxtaposent écriture, détails figuratifs et trame graphique comme pour capturer la dimension fugitive de la beauté.
Chez Jean-Michel Alberola, les expositions deviennent souvent installations. L'exposition de 2002 accueillait le spectateur avec des murs peints annonçant "Commerce" et commentant "J’ai l’impression de parler à un mur". Cette fois, le visiteur est accueilli avec un néon lumineux "Chez Daniel" créant ainsi d’emblée une distance ironique entre l’artiste et le marchand. Un mur peint annonce "Devenir grain de sable" tandis que l’espace de la galerie exhibe de petites boîtes contenant des tableaux et nommés "reliquaires". Pour Jean-Michel Alberola qui a longtemps peint des ex-voto et des crucifixions, ce retour à la dimension religieuse de l’art, constitue peut-être une réflexion sur la fin de la peinture ou une invitation - pudique - à s’interroger sur notre capacité à la regarder.
A l’occasion de l’exposition, Jean-Michel Alberola a organisé au Palais de Tokyo, une vente du "Capital" de Karl Marx.
2004 : "Cabinet des Dessins n°1", Musée d’Art Moderne de Saint Etienne "Peintures à histoires", Musée des Beaux Arts et d’Archéologie, Besançon "Nuit blanche", Château de Versailles "Contre-point : l’art contemporain au Louvre", Musée du Louvre, Paris.
2003 : Biennale de Valence, Espagne Echigo-Tsumari Triennial 2003, Japon FRAC Picardie
2002 : "Je ne m’appelle pas Pierrot, je m’appelle Ferdinand", Institut Franco Japonais, Tokyo "J’ai l’impression de parler à un mur", galerie Daniel Templon, Paris Galerie Knapp, Lausanne
2000 : "Terriblement forain", Centre d’art contemporain, Troyes Restauration du Théâtre de Courtrai, Belgique "Jean-Michel Alberola", Galerie Fenda, Barcelone "Quoi peindre, donc ?", Espace Ecureuil, Toulouse "La Beauté", Avignon "Négociations", Nicolas Bourriaud et Bernard Marcadé, CRAC, Sète
1999 : "Un Parasite", galerie Daniel Templon, Paris "Plakate in der Stadt", Weimar, Projet FRAC Picardie
1998 : "Ni Belote, ni Poker", Musée des Beaux-Arts de Chartres "Toi Même", Musée d’Art et d’Histoire,
Genève, Suisse "Il parle, je peins", Fonds régional d’art contemporain de Picardie, Amiens
1997 : "Jean-Michel Alberola - oeuvres récentes", galerie Catherine Issert, Saint-Paul de Vence "Jean-Michel Alberola", Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris
1995 "L'Effondrement des Enseignes Lumineuses", Fondation Cartier Paris, "Qu'y a-t-il dans les poches du Gilles?", Centre d'Art Contemporain de Castres; Fonds régional d’art contemporain de Picardie, Amiens
1994 : Galerie Knapp, Lausanne Galerie L'Oeil Ecoute, Lyon "Ce qu'il reste de l'Impression d'Afriques!", Galerie Patrick Martin, Lyon
1993 : Sommet de la Francophonie, Ile Maurice "L'Autre", Montevideo "L'Image dans le tapis", Jean de Loisy, Biennale de Venise "Ben - Alberola", Galerie Antoine de Galberg, Grenoble Fondation de Pont, Tilburg Galerie Daniel Templon, Paris "Copier - Créer", Musée du Louvre, Paris "Tous les Chemins mènent à Rome" "Le Milieu du Monde", Sète "Avec la Main Droite", Centre Georges Pompidou Paris
1992 : "Exposition universelle de Séville", Pavillon Français, Séville
"A visage découvert", Fondation Cartier, Jouy-en-Josas
1991 : "Georges Bataille: les Arts Visuels", Musée de Sainte-Croix, Les Sables d' Olonne
"L'Oeuvre et le Sacré", Atelier Cantoisel, Joigny
Galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence
Commanderie Saint-Jean, Musée du Nimègue
1990 : Galerie Kaj Forsblom, Helsinki
Galerie Pascuale Trisorio, Naples
Palais des Beaux-Arts, Bruxelles
Galerie Marthe Carretton, Nîmes
Galerie Daniel Templon, Paris
"L'Art en France, 1945-90", Fondation Daniel Templon, Fréjus
Exposition organisée par Bernard Marcadé, Galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence
"La Compagnie des Objets", Le Quartier, Centre d'Art Contemporain de Quimper
"Astronomie populaire", Carré d’art, Musée d'Art Contemporain Nîmes
Palais des Beaux-Arts Bruxelles,
1989 : "Les Magiciens de la Terre", Centre Georges Pompidou - Grande Halle de la Villette, Paris
"Histoires de Musée", A.R.C., Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris
Exposition organisée par Bernard Marcadé, Galerie Catherine Issert, Saint-Paul de-Vence
"Auf Zwei Hochzeiten Tanzen", Kunsthalle, Zurich
1988 : "Inventaire 1 (Bribes de la Réalité Perçue)", Association Passages, Troyes
"Dérèglement de Comptes IVème partie (Présentation de Commerce)", avec Michel Henochsberg, C.N.A.P. rue Berryer, Paris
"Dérèglement de Comptes Vème partie", avec Michel Henochsberg, Musée d'Art Contemporain, Séoul
"Jardin de la Perfection (Nature Inconnue)", Nevers
"Dérèglement de Comptes VIème partie", Kunsthalle de Zürich, avec Michel Henochsberg
"Trajectoire Italie-France"
"Meltem", C.N.A.C. Le Magasin, Grenoble
Présentation du FRAC Aquitaine, Centre Culturel, Dax
"Trajectoires Italie - France", Espace Vendôme
"Art Français du XXe Siècle 1975 - 1987", Musée National d'Art Contemporain Kwachon, Corée
"Diverses Considérations concernant la Première Apparition de B.Gracian à Rouen", Chapelle du Lycée Corneille et Chapelle Saint-Louis, Rouen
"Exposition - Vente", galerie Daniel Templon, Paris
Galerie des Beaux-Arts, Bruxelles, Belgique
1987 : "Impression d'Afrique", Association Passages, Troyes
Musée de la Chaussure, Romans / Isère ; Musée Faure, Aix-les-Bains
"Dérèglement de Comptes Ière partie", avec Michel Henochsberg, Frans Hals Museum, Haarlem
"Présentation de l'Ex-Voto", galerie Pietro Sparta, Chagny
"Reine de Banlieue", Château de Saint-Ouen
"11 ans après", Ecole des Beaux-Arts de Mâcon
"Suzanne et les Vieillards", galerie Daniel Templon, Paris
"Intensités Nomades", Musée Fabre, Montpellier
Galerie Bab Rouah, Rabat
Centre d'Art Vivant, Tunis
Institut du Monde Arabe, Paris
"9 artistes français 87", Musée Espagnol d'Art Contemporain, Madrid ; Salle Parpollo, Valence
"Terrae Motus", Grand Palais, Paris
"Avant-Garde in the Eighties", County Museum of Art, Los Angeles
"Perspectives Cavalières", Ecole Régionale Supérieure d'Expression Artistique, Tourcoing
"Vis-à-Vis", Musée Saint-Denis, Reims
"Inauguration de 3 Sculptures dans le Jardin des Tuileries", Paris
"9 artistes français 87", Fondation Calouste Gulbenkian
Centro de Arte Moderna, Casa de Serralvez, Porto, Portugal
Hôpital Real, Grenade, Espagne
"Meltem", Musée du Château d'Oiron
"Les Masques de Dieu", Galerie Nikki Diana Marquardt, Paris
"Le Jour et la Nuit", Orangerie de Meudon
"Dérèglement de Comptes IIème partie", avec Michel Henochsberg, Festival d'Istanbul
"Un Artisan, un Musée", Musée de Saint-Ouen
"Les Peintres d'Europe dans les Années 1980", exposition itinérante en Europe organisée par Eighty Magazin
"Dérèglement de Comptes IIIème partie" avec Michel Henochsberg, Conférence à l'Ecole des Beaux-Arts de Châlons-sur-Saône
County Museum of Art Los Angeles,
"L'Epoque, la Mode, la Parole, la Passion", Centre Georges Pompidou Paris
Biennale in Sao Paulo Sao Paulo,
1986 : Kunsthalle Düsseldorf Düsseldorf
"Prospect", Kunstverein and Kunsthalle Frankfurt Frankfurt
"Graphistes de Provence et de Paris", Orange
"La Memoria del Tempo", Vérone
"Une Décennie de Peinture", exposition itinérante en France
"Peinture Française", Hong-Kong, Singapour, Bangkok
"Four French", Lang O'Hara Gallery, New York
"Sous le Signe du Taureau", Paris
"Signes Abstraits dans la Peinture Française du XXème siècle", Rabat, Tanger, Maroc et Montpellier
"Terrae Motus", Villa Campolieto, Herculanum, Italie
"Peintures et Nouvelles Images en France"
"Chasseur sachant Chasser", Agence Nationale de Création Rurale, Châlon-sur-Saône
"Art Français : Position", Berlin
"Pictura Loquens : 25 ans d'Art en France", CNAC Villa Arson, Nice
"De tous les Saints (Baptême)", Institut Français, Naples
"De tous les Saints", Musée Cantini, Marseille
"La Peinture, l'Histoire, la Géographie et le Commerce", Kunsthalle Düsseldorf
"Retour d'Afrique", Institut Français de Naples
1985 : "Courir deux Lièvres à la fois", Arnolfini Gallery, Bristol
"Sculpture Récente", galerie Daniel Templon, Paris
"Présentation du Toréador Aléatoire", Gimpel Fils Gallery, Londres
"La Peinture, l'Histoire et la Géographie", Centre Georges Pompidou, Galeries Contemporaines, Paris Thomas Segal Gallery, Boston
Biennale de Paris
Castelli Graphics, New York
Whanki Foundation, Paris
"Anniottanta", Galleria Communale d'Arte Moderna, Bologne, Italie
"Europalia, MCMLXXXV", Athènes
"Dessins dans la ville", Marseille
Centre Georges Pompidou Paris
Musée des Beaux-Arts Le Havre
1984 : "An International Survey of Recent Painting and Sculpture", Museum of Modern Art New York
Arte allo Specchio, Biennale di Venezia
"France: une Nouvelle Génération", Hôtel de Ville de Paris
"French Spirit Today", University of Southern California
Fisheer Art Gallery et Museum of Contemporary Art, La Jolla
"Pierre Loti", Musée de Bayonne
"Rite, Rock, Rêve", Musée Cantonal des Beaux-Arts de Lausanne, Suisse
"Individualités", Galerie Nationale d'Art Moderne de Rome et Chartreuse de Capri
"Rose International Art Exhibition", Dublin
"Suzanne et les Vieillards", galerie Daniel Templon, Paris
"Les Images Peintes 1978-83", Galerie Municipale de Saint-Priest ; Musée des Beaux-Arts, Le Havre; Abbaye de Fontevraud, Fontevraud
"Remake", Galerie Kaj Forsblom, Helsinki et Galerie Grafiart, Turku, Finlande
"Présentation de l'Acteon Invenit", Ghislain Mollet-Vieville, Paris
Galerie Kaj Forsblom, Helsinki
1983 : Engström Gallery, Stockholm, Suède
Galerie Raab, Berlin
Salon de Montrouge
"Bonjour Monsieur Manet", Centre Georges Pompidou, Paris
Exposition de Groupe, galerie Daniel Templon, Paris
"New French Painting", exposition organisée par Jérôme Sans à Londres et Oxford, Grande-Bretagne
"European Expressions", Anina Nosei Gallery, New York
"Transfigurations", A.R.C.A., Marseille
Exposition itinérante d'Art Contemporain en Amérique Latine
1982 : "... de Suzanne", galerie Daniel Templon, Paris
La Galerie Daniel Templon expose un ensemble important d’oeuvres récentes de Jean-Michel Alberola à la suite de sa participation remarquée aux Ateliers 81/82 de la section ARC du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris cet hiver.
Il s’agit d’une série de 11 huiles sur toile de moyen et grand format et de 12 pastels sur papier exécutés en 1981 et 1982.
Les tableaux de Jean-Michel Alberola s’ordonnent tous autour du célèbre mythe de "Suzanne et les vieillards". Toutefois la référence biblique est moins marquée dans l’oeuvre d’Alberola que celles qui procèdent du florilège d’interprétations de ce mythe dans la tradition plastique, notamment chez le Tintoret. Les multiples aspects de cette "histoire", parmi lesquels la chasteté et la lubricité, s’ordonnent mystérieusement et laissent apparaître des traces propres à exciter la curiosité cryptographique du spectateur.
Les pastels procèdent du même esprit mais évoquent davantage la version hellénique de ce mythe : Actéon, fils d’Aristée, aperçoit par hasard Artémis en train de se baigner dans un torrent. Il ne s’éloigne pas et la regarde. De crainte qu’il ne se vante par la suite qu’elle s’est montrée nue en sa présence, Artémis le change en cerf et le fait mettre en pièces par sa meute de cinquante chiens.
En réalité, l’univers de de Jean-Michel Alberola, et ce qui le peuple, personnages, animaux, objets, cadres retournés et sur certaines oeuvres la silhouette de l’artiste lui-même constituent un ensemble de symboles qui participent les uns des autres et s’éclairent mutuellement. Comme l’écrit Robert Graves : "Lorsqu’on essaie de comprendre un récit mythique..., il convient d’être très attentif au nom, à l’origine tribale ou au destin des personnages ; il faut ensuite le rétablir dans sa forme primitive de représentation rituelle ; c’est souvent alors que certains détails suggèreront des analogies avec un autre mythe auquel on avait donné un sens anecdotique entièrement différent." Placé dans le faisceau de ces significations, c’est à cette quête que le public est invité à l’occasion de la présentation de cette exposition.
1982 : Bonlow Gallery, New York
Galerie Katia Pissaro, Paris
Salon de Montrouge, Montrouge
"L'Air du Temps", Galerie d'Art Contemporain des Musées de Nice
"Mythe, Drame, Tragédie", Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Etienne
Aperto, Biennale di Venezia
1981 : "1er Accrochage", Alain Oudin / Jean de Loisy, Paris
Salon de Montrouge, Montrouge
"Finir en Beauté", Bertrand Lamarche-Vadel, Paris
"Ateliers 81-82", ARC, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris - avec également, Rémi Blanchard, Hervé Di Rosa, François Boisrond et Robert
Combas.
1975 - 1976 : Salon de Toulon
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