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Werner Schroeter

Centre Pompidou, Paris

Rétrospective du 2 décembre 2010 au 22 janvier 2011


Le Centre Pompidou rend un hommage inédit au cinéaste allemand Werner Schroeter.

Cette rétrospective complète, à laquelle le réalisateur s’était étroitement associé, avant sa récente disparition, est aujourd’hui portée par ses acteurs, ses proches collaborateurs, par ceux qui l’ont aimé et défendu. Près de quarante personnalités, parmi lesquelles Isabelle Huppert, Carole Bouquet, Ulrike Ottinger, Ingrid Caven, Pascal Greggory, Bulle Ogier, témoignent de leur engagement auprès de cet artiste flamboyant et passionné. Tous viennent au Centre Pompidou présenter certaines séances de ce cycle de près de 30 films, dont plusieurs, notamment Eika Katappa et La Mort de Maria Malibran, sont projetés pour la première fois en versions restaurées par le Filmmuseum München, avec la collaboration de l’Eye Film Institute Netherlands sur certains titres.

Poète, artiste postmoderne au style scintillant et dérangeant, Werner Schroeter reste un cinéaste exceptionnel. Amoureux de théâtre, de poésie, de littérature romantique et d’opéra, c’est dans cet héritage qu’il a puisé les racines de son cinéma d’avant-garde. En quarante ans de carrière, Werner Schroeter a tissé une oeuvre composée d’une trentaine de films qui a réinventé le cinéma allemand depuis les années 60. Films inédits, raretés ainsi que plusieurs longs métrages restaurés numériquement composent cette rétrospective intégrale, la première jamais présentée en Europe.

Longtemps considéré comme un cinéaste underground, promenant ses spectateurs dans les méandres de la vie, de l’amour et de la mort (La Mort de Maria Malibran), Werner Schroeter fut également un réalisateur engagé (Le Règne de Naples, Palermo) dont les films nous transportent entre monde réel et contrées imaginaires, à travers une esthétique volontairement kitsch.

Werner Schroeter a aussi puisé son inspiration dans la figure féminine, ces femmes qu’il vénérait dans une amitié réciproque comme l’insaisissable Isabelle Huppert dirigée avec exigence et passion démesurée dans Malina et Deux.



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