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Daniel Dewar et Grégory Gicquel

Prix Marcel Duchamp 2012

Centre Pompidou, Paris

Exposition du 25 septembre 2013 au 6 janvier 2014




dewar et gicquel exposition
Dewar et Gicquel. "Granitoïd Trans Goa Rascal Koï Koï", 2007. Granit rose, granit noir, grès rose de Fréhel, peinture ; 175 x 350 x 160 cm. Vue du parc des Collections de Saint Cyprien, 2008. Collection privée, Paris, France. Courtesy galerie Loevenbruck, Paris / Collections de Saint Cyprien. Photo Marc Domage

Le Centre Pompidou invite le duo d'artistes Daniel Dewar et Grégory Gicquel, lauréats du Prix Marcel Duchamp 2012, à exposer dans l'Espace 315.

La proposition de Daniel Dewar et Grégory Gicquel s'articule autour de trois oeuvres produites spécialement pour l'exposition du Prix Marcel Duchamp dans l'Espace 315.

Ces oeuvres s'inscrivent dans des généalogies propres au mode de travail des artistes. Elles peuvent se lire de façon autonome, mais forment également un ensemble. Intitulée Le Hall, cette proposition ne parle pas tant d'une série littéralement narrative que d'une invitation à occuper un espace et à provoquer des rencontres au sein du «white cube» que constitue l'Espace 315.

De biais, le titre de l'installation réfère également à la relation qu'entretient l'oeuvre des deux artistes à l'espace public qu'ils ont souvent occupé et pour lequel ils réalisent généralement des oeuvres spécifiques. Tentant de jouer avec la frontalité de l'espace tout en longueur qui leur est offert et qui se livre tout entier au spectateur dès son entrée, Daniel Dewar et Grégory Gicquel relèvent le défi en tirant parti de la perspective du lieu. Un dialogue des matières relie les différentes oeuvres en présence : la soie, lisse et fragile, s'oppose à la rusticité et à l'épaisseur de la tapisserie, et à la solidité du bois.

Le chien, la robe de chambre, les chaussures et la langouste (2013), tapisserie monumentale au titre explicite, a été réalisée à la main, en laine mérinos, pendant une période de six mois dans l'atelier parisien de Grégory Gicquel. Elle fait suite à Mammoth and Poodle, une oeuvre plus improvisée et moins figurative, présentée au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris en 2010.

La rivière Amstel (fragment d'une proposition de fresque en faïence émaillée pour la station de métro Rokin à Amsterdam) (2013) est une peinture sur soie reprenant les dessins préparatoires à un projet de commande publique : une fresque en céramique représentant un paysage subaquatique pour une station de métro hollandaise. Cette technique évoque une pratique d'aquarelliste au format XXL où la spontanéité voisine avec l'accident.

Enfin, Bodybuilder (2013), est une statue de chêne représentant un culturiste dans le plus simple appareil. Unique présence anthropomorphique de l'ensemble, il accueillera les spectateurs dans l'espace de la galerie de sa stature légèrement hypertrophiée.



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