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Danser sa vie

Centre Pompidou, Paris

Exposition du 23 novembre 2011 - 2 avril 2012




Danser sa vie
Jan Fabre, "Quando l'uomo principale è una donna", 2004 - Filmé par Charles Picq à la Maison de la danse, Lyon, avril 2004 - Direction, scénographie et chorégraphie : Jan Fabre - Danseuse : Lisbeth Gruwez - source : DP Danser sa vie, Centre Pompidou, Paris 2011/2012

Avec "Danser sa vie" le Centre Pompidou de Paris consacre une exposition sans précédent aux liens des arts visuels et de la danse, depuis les années 1900 jusqu'à aujourd'hui. Sur plus de deux mille mètres carrés, l'exposition puise à la tradition des grandes manifestations transdisciplinaires du Centre Pompidou que son Président, Alain Seban, a voulu réactiver. Le sujet, original et fécond, est illustré par les oeuvres des plus grandes figures artistiques du XXe siècle, des mouvements fondateurs de la modernité, ainsi que par les recherches des plus importants artistes et danseurs contemporains.

Danser sa vie montre comment danse et arts plastiques ont allumé ensemble l'étincelle de la modernité pour nourrir les courants majeurs et les figures qui ont écrit l'histoire de l'art moderne et contemporain.

A travers un parcours en trois actes, où s'entremêlent moderne et contemporain, l'exposition montre l'intérêt commun de l'art et de la danse pour le corps en mouvement. Révélant cette face cachée des avant-gardes et cette source vive pour l'art contemporain, Danser sa vie fait dialoguer toutes les disciplines, des arts plastiques – jusqu'à la vidéo contemporaine – et de l'art chorégraphique. Un vaste choix de peintures, de sculptures, d'installations, d'oeuvres audiovisuelles et de pièces chorégraphiques, témoigne de leurs échanges incessants.

Le titre Danser sa vie est emprunté à la danseuse Isadora Duncan, pionnière de la danse moderne : "Mon art est précisément un effort pour exprimer en gestes et en mouvements la vérité de mon être. (...) Devant le public qui venait en foule à mes représentations, je n'ai jamais hésité. Je lui ai donné les impulsions les plus secrètes de mon âme. Dès le début, je n'ai fait que danser ma vie", explique-t-elle dans son ouvrage Ma vie, publié en 1928.



Le parcours de l'exposition s'articule autour de 3 grands volets :

  • La danse comme expression de soi, de Vaslav Nijinski à Matthew Barney

    L'invention d'une nouvelle subjectivité est explorée à travers la naissance de la danse libre dégagée du ballet classique. En Allemagne, à l'heure de l'expressionisme et de la Freikörperkultur (la culture du corps libre), se noue un échange sans précédent entre artistes et danseurs qu'incarnent par exemple la danseuse Mary Wigman et les peintres Ernst Ludwig Kirchner et Emil Nolde. Plus tard, d'autres liens étroits se tissent entre plasticiens et danseurs tels Martha Graham avec le sculpteur Isamu Noguchi. De Vaslav Nijinsky à Matthew Barney, d'Henri Matisse à Maya Deren, de Pina Bausch à Mike Kelley, cinéma et art contemporain dialoguent avec les chefs-d'oeuvre modernes.

  • Danse et abstraction, de Loïe Fuller à Alwin Nikolais

    La naissance de l'abstraction est envisagée à travers les inventions de Loïe Fuller, ou par la façon dont Kandinsky, les cubistes, les futuristes, le Bauhaus et les avant-gardes russes s'emparent de la danse. Certains artistes, comme Sophie Taeuber-Arp, pratiquent à la fois danse et arts plastiques. D'autres dialoguent avec des danseurs comme Kandinsky et Gret Palucca ou Calder et Joséphine Baker. Ballets mécaniques, inventions cinétiques et ballets virtuels achèvent cette histoire avec les recherches de Nicolas Schöffer et d'Alwin Nikolais. Cette section présente une oeuvre inédite d'Olafur Eliasson conçue pour l'exposition.

  • Danse et performance, de Dada à Jérôme Bel

    Un dernier volet évoque les liens de la danse avec l'art de la performance, et réciproquement : depuis les premières actions dadaïstes du Cabaret Voltaire jusqu'à l'invention des tasks (gestes empruntés à la vie quotidienne) par la danseuse Anna Halprin, de la naissance du happening avec Allan Kaprow au Black Mountain College. Dans les années 1960, Merce Cunningham dialogue avec John Cage, ou encore Andy Warhol. Un ensemble d'oeuvres et de documents évoque la Judson Church à New York, puis dévoile l'influence de la culture populaire du clubbing et de la techno.

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  • Dansons nos vies !

    "Et que l'on estime perdue toute journée où l'on n'aura pas au moins une fois dansé", écrivait Nietzsche, qui plaçait la danse au centre de son esthétique... Lire la suite : Introduction à l'exposition Danser sa vie par Christine Macel et Emma Lavigne, commissaires



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