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Taken 2Avec Liam Neeson, Maggie Grace, Famke Janssen |
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Un film d'Olivier MegatonDate de sortie : 3 octobre 2012Liam Neeson revient dans le rôle de Bryan Mills, l'ex-agent de la CIA qui n'avait reculé devant rien pour sauver sa fille des mains de ses ravisseurs dans Taken. Quand il devient lui-même la cible d'un mystérieux personnage à la soif de vengeance, Bryan doit avoir recours à ses "compétences particulières" pour protéger sa famille contre une armée décidée à les tuer. Né de la collaboration entre le réalisateur-producteur Luc Besson (qui a coécrit et produit TAKEN 2), le scénariste Robert Mark Kamen (qui a cosigné les deux Taken avec Besson) et le réalisateur Olivier Megaton (Colombiana, Le Transporteur 3), TAKEN 2 fait suite au succès international de Taken, sorti en 2008, qui avait cumulé 224 millions de dollars au box-office. Les spectateurs du monde entier avaient salué la performance de Liam Neeson dans le rôle de Bryan Mills, père extrêmement protecteur dont les compétences – forgées durant ses années à la CIA – sont mises à l'épreuve, bien après son départ à la retraite. Déterminé dans sa quête pour sauver sa fille, kidnappée dans un somptueux appartement parisien, dans Taken, le personnage de Bryan a immédiatement suscité l'empathie de tous les parents. La mise à exécution de la promesse faite par Bryan aux ravisseurs qui ont enlevé sa fille a captivé l'imagination du public dans le monde entier, faisant de Taken un des thrillers d'action les plus inoubliables et les plus populaires et de ces dernières années. « Le problème auquel est confronté Bryan est une situation dans laquelle chacun de nous peut se projeter », confie Liam Neeson. « Si votre enfant était menacé, vous feriez n'importe quoi pour enrayer cette situation ». « Taken avait touché une corde sensible chez les gens », affirme Famke Janssen, qui joue le rôle de Lenore. « Je pense que c'était cette idée – si quelque chose arrivait à un membre de votre famille, que feriez-vous ? Jusqu'où seriez-vous prêt à aller ? Le public s'est complètement identifié à Bryan Mills ».
Le rôle de Bryan a marqué un tournant décisif dans la carrière
de Liam Neeson. Avant Taken, on l'avait encensé pour ses
performances dans le registre dramatique, notamment pour le
film La Liste de Schindler, couronné aux Oscars. Taken, thriller
d'action survolté, représentait bien plus qu'une mission pour
Neeson ; c'était la réalisation d'un rêve d'enfant. « Le film a fait
appel au gosse qui est en moi », s'amuse-t-il. « C'était
l'occasion d'être à Paris pendant trois mois, de faire de
l'entraînement de combat – j'adore tous ces trucs physiques.
C'était une grande libération ».
Ce mystérieux consultant a raconté des anecdotes concernant de véritables opérations de terrain – du genre de celles que Bryan aurait pu engager du temps où il travaillait pour la CIA – qui ont fait beaucoup d'effet à Neeson. « Je veux dire, oubliez James Bond… Là, c'est pour de vrai ! Et il continue de faire ça. Ça a été une source d'inspiration formidable ».
TAKEN 2 - Bande-annonce VF par CoteCine TAKEN 2 démarre deux ans après les événements de Taken. La relation entre Bryan et sa fille, Kim, s'est renforcée, et il espère renouer avec son exfemme, Lenore. « Avant même qu'il soit confronté à la nouvelle menace qui pèse sur sa famille, Bryan est déjà en mission pour se rapprocher de Kim et Lenore », déclare le réalisateur Olivier Megaton. Dans le premier film, Kim était une victime passive. Mais dans TAKEN 2, on constate nettement que cette période de deux ans l'a transformée. Sous la tutelle de Bryan, elle a développé certains des instincts de son père. Elle est mieux équipée pour faire face à la crise qui survient lors des retrouvailles de ses parents, à Istanbul. « C'est la fille de son père, et elle découvre de quoi elle est capable », explique Maggie Grace. « Dans le premier film, Kim était jeune et naïve, elle ne connaissait pas grand-chose du monde réel », ajoute Olivier Megaton. « Mais quelque chose d'incroyable lui est arrivé et elle s'est reconstruite. Elle a mûri. Elle ne veut plus être passive ». Lenore aussi a amorcé un changement. Suite à l'enlèvement de Kim, et après sa séparation d'avec son dernier mari, une réconciliation entre elle et Bryan semble possible. « Leur connexion est soudain devenue très forte, parce que Lenore a traversé une période difficile », précise Liam Neeson. « Bryan est un soutien sur lequel elle peut s'appuyer, et de là, leur relation grandit ». Lenore, comme sa fille, a mûri depuis les événements du premier film. « Lenore n'était pas vraiment sympathique dans Taken », note Olivier Megaton. « Elle était tout le temps très apprêtée, toujours parfaite. On a essayé de lui donner un peu plus d'humanité dans celui-ci ». Famke Janssen trouve également que Lenore n'avait pas le beau rôle dans Taken. « Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de gens qui sont venus me voir en me disant, “Vous étiez une telle peste dans Taken !”. Mais dans celui-ci, comme Lenore est elle-même en danger, vous vous inquiétez pour elle. Donc, ça me semblait logique de l'adoucir un peu, de la rendre plus attachante ». Liam Neeson, Famke Janssen et Maggie Grace réunis, il restait un challenge de taille pour compléter le casting de TAKEN 2 : trouver le nouveau méchant du film, Murad. C'est le célèbre acteur de genre Rade Serbedzija qui a endossé le rôle – qu'Olivier Megaton annonce « très différent du traditionnel méchant. Murad pourchasse Bryan pour une grande et juste cause, qui est de rendre justice à son fils, mort de la main de Bryan ». Contrairement à la plupart des méchants, Murad n'a soif ni de pouvoir ni d'argent, et n'a fait l'objet d'aucun entraînement spécifique. « Murad n'est pas un criminel de métier », précise Serbedzija. « Ce n'est pas un guerrier. Mais il a fait de ça sa mission – prendre sa revanche sur Bryan ».
Olivier Megaton a auditionné bon nombre d'acteurs pour le rôle
et il a choisi Serbedzija après que celui-ci lui a envoyé une vidéo
du procès, qu'il avait lui-même filmée. « En visionnant les
images de Rade, je me suis soudain senti plongé dans la réalité
de la situation de Murad », s'enthousiasme le réalisateur.
« Rade apporte tellement au film ; aussi parce que c'est un père.
Liam est un père qui protège sa fille, Rade en est un qui venge
son fils ».
Pour les acteurs comme pour les auteurs, la décision de rempiler pour une suite n'a pas été prise à la légère. Taken avait saisi quelque chose de spécial, et tout le monde était déterminé à trouver un nouvel angle d'attaque à l'histoire de Bryan Mills. « Quand j'ai lu le scénario de Luc et Robert, explique Olivier Megaton, j'y ai tout de suite vu l'opportunité de faire quelque chose de neuf. Ce n'est pas juste une nouvelle aventure de Bryan Mills ; il est question de la famille, d'un père déterminé à sauver la sienne ». « Les scénaristes ont vraiment été formidables dans leur façon d'aborder cette nouvelle histoire », remarque Maggie Grace. « Elle conserve les éléments qui avaient si bien fonctionné dans Taken et elle les développe. Bryan, Kim et Lenore se battent pour sauver leur peau – et chacun d'eux pour sauver celle des deux autres ». L'action de TAKEN 2 se déroule principalement à Istanbul, ville rarement filmée au cinéma. Olivier Megaton a passé la plupart de la préparation à y faire des repérages et à sillonner la ville, des heures durant. Quand le tournage a commencé, il connaissait mieux que certains membres de l'équipe locale les rues et les passages de la ville. Liam Neeson estime que tourner à Istanbul ne ressemblait en rien à ce qu'il avait connu auparavant. « Istanbul est l'endroit où se rencontrent l'Est et l'Ouest – une ville magnifique, avec des gens extraordinaires », dit l'acteur qui a tourné un peu partout dans le monde, mais qui reste très impressionné par les lumières et les sons si singuliers d'Istanbul. Où qu'elle se tourne, l'équipe se retrouvait face à un monument. Des lieux stratégiques comme la façade de la mosquée Süleymaniye, un des édifices les plus impressionnants de la ville ; le grand bazar, bâtiment du XVe siècle, de la taille d'un quartier, qui accueille chaque jour plus d'un quart de million de visiteurs ; et un hammam traditionnel, ou bain turc – théâtre du final explosif du film. Le directeur de la photographie Romain Lacourbas, a mis en valeur la palette de couleurs vives de ces décors époustouflants. « On pouvait presque toucher la lumière qu'elle changeait déjà de teinte », raconte Neeson. « Et il y a des plans où la ville tout entière se déploie devant vous ». Maggie Grace ajoute : « Avoir eu carte blanche pour accéder aux coulisses de cette ville incroyable, ça donnait l'impression de littéralement sentir l'Histoire ». Comme son illustre prédécesseur, TAKEN 2 met l'accent sur l'action – électrisante et continue. Mais la réalité d'un tournage dans cet environnement, excitant mais rempli de challenges, impliquait que l'équipe réagisse rapidement pour que l'action ne cesse d'aller de l'avant. A Istanbul, comme dans d'autres décors, le coordinateur des combats, Alain Figlarz, a travaillé de manière étroite avec Liam Neeson et Olivier Megaton – qui a donné à Figlarz un des rôles clés du film. « C'était bien que ce soit un vrai lutteur qui joue le rôle du personnage, dans le film », dit le réalisateur. « Et c'était un grand moment, pour Liam, de jouer contre la personne qui coordonnait les combats du film ». Alain Figlarz a initié les techniques de close combat remarquées dans La Mémoire dans la peau. Pour TAKEN 2, il a eu recours à des variantes – encore plus extrêmes – du même genre. Olivier Megaton poursuit : « Alain est unique. Il est si précis, si vif. Il y a une logique à chacun de ses gestes. Il a fait partie des forces spéciales, donc il tient ça de son expérience ». En dehors des scènes de combat, un des temps forts du film est une poursuite de voitures dans les rues d'Istanbul, avec la jeune conductrice Kim. Elle est terrifiée – et avec raison – par la perspective de devoir distancer ses assaillants dans une des rues les plus embouteillées du monde. Une autre scène d'action, bondissante, voit un personnage se jeter au travers du toit du grand bazar. Tourner au sommet de ce bâtiment était un beau coup, mais aussi un défi logistique. « Sur le toit, il n'y avait que quatre bandes de béton sur les lesquelles nous pouvions marcher », explique Olivier Megaton. « Et on ne pouvait pas en dévier parce que c'était trop fragile. On ne pouvait pas monter de grue ; on pouvait simplement se déplacer en avant ou en arrière avec un steadicam, parce que c'était trop compliqué d'aller sur les côtés ». Même fixer la caméra à des câbles aurait été impossible – ça voulait dire attacher les câbles à des mosquées ou à des immeubles vieux de plusieurs siècles. La solution qu'a trouvée Olivier Megaton est ingénieusement simple : il a fixé une caméra sur un mini-hélicoptère télécommandé et l'a fait tourner autour des acteurs pour avoir ses prises de vues. Liam Neeson : « Pour l'action, Olivier est extraordinairement efficace, et il est très doué avec la caméra. Il y avait toujours trois ou quatre caméras qui fonctionnaient en même temps, c'était très excitant ».
Olivier Megaton a beau être expert en scènes d'action, il n'en
reste pas moins qu'il a à coeur de capter le réel et les émotions
humaines. Liam Neeson : « Quand il y avait des scènes de
dialogue entre Famke, Maggie et moi, nous ne décortiquions
pas trop les choses ; Olivier nous laissait simplement les
explorer ».
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