Au sein de la ruche parisienne, le travail ne manque pas. Les deuxième et troisième salles présentent plusieurs métiers essentiels dans la capitale au XIXe siècle, depuis les « petits métiers » se pratiquant dans la rue aux métiers très qualifiés de l'atelier du grand centre. Les domestiques constituent une catégorie à part, cherchant à se distinguer du peuple dont ils sont pourtant issus. L'imagerie accentue les stéréotypes forgés pour chaque métier, comme en témoignent les figures du portier, souvent dépeint comme désagréable, bavard, ignare, ou de la jolie grisette, aux mœurs prétendument légères.