Les oeuvres d'avant-guerre de Dix manifeste un vitalisme proche du principe dionysiaque de Nietzsche, qui magnifie les forces créatrices et destructrices de la vie. Cet amour de la vie s'oppose à tous les contempteurs de la vie, et notamment le christianisme. C'est pourquoi les motifs christiques de son oeuvre picturale de 1912/13 n'expriment pas une adhésion aux dogmes chrétiens mais font du Christ un paradigme de la souffrance humaine.